Apiculture

160

tonnes produites et commercialisées par an

400 g

de miel consommés par an et par habitant

12 000

ruches

Les pères Maristes, venus d’Australie, auraient apporté les premiers essaims à l’île des Pins et aux îles Loyauté en 1848. L’essentiel du cheptel de production est constitué d’une population hybride des deux sous-espèces principales d’abeille que sont l’Apis mellifera mellifera (l’abeille noire) et l’Apis mellifera ligustica (l’abeille jaune ou italienne). Le miel calédonien, qui couvre 96 % des besoins du marché, est en grande partie consommé frais. Miel en rayon, aromatisé, pollen, propolis, etc.

La transformation du miel calédonien se décline en une vaste gamme, tout comme celle des produits de la ruche, proposés sous forme de confiseries, de bougies et de produits cosmétiques. Alors que l’apiculture recule dans de nombreux pays, elle est ici en essor, le nombre de ruchers ayant plus que triplé en dix ans, notamment en province Sud. Mais elle reste une activité secondaire pour la plupart des producteurs. Le miel calédonien jouit d’une excellente réputation gustative et bénéficie d’un environnement sanitaire préservé.

Chiffres clés de la filière 2017

  • Production de miel : 160 tonnes
  • 700 apiculteurs
  • 12 000 ruches
  • 3 bassins de production : Sud-Ouest, Grand Nord, Lifou
  • Taux de couverture du marché local : 96 %

(Source : Centre de promotion de l’apiculture)

LES INTERVENTIONS DE L’AGENCE RURALE :

# Promotion apiculture

Depuis 2017 avec l’ERPA et aujourd’hui avec l’Agence Rurale, des études sont financées dans le cadre d’un programme de caractérisation des miels (pour une éventuelle certification des miels) au sein du Centre de promotion de l’apiculture (CPA) de l’ADECAL Technopole. L’objectif est de développer une démarche d’identification-produit sur le miel calédonien pour le marché intérieur mais également pour valoriser le produit sur les marchés internationaux.

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