Transition agroécologique

En Nouvelle-Calédonie, la transition agroécologique se présente comme une réponse nécessaire aux défis environnementaux et économiques auxquels est confrontée le pays. Malgré son potentiel agricole, la Nouvelle-Calédonie importe une grande partie de ses denrées alimentaires, ce qui la rend vulnérable aux fluctuations des marchés mondiaux et accentue sa dépendance économique.

La transition agroécologique en Nouvelle-Calédonie représente un virage nécessaire vers un modèle agricole plus durable, plus équitable et plus respectueux de l'environnement, capable de répondre aux besoins alimentaires de la population tout en préservant les ressources naturelles pour les générations futures.
Lors de la création de l’Agence rurale, issue de la fusion entre l’ERPA et l’APICAN, le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie a souhaité qu’elle porte le développement de l’agroécologie à l’échelle du pays.
C’est ainsi qu’en 2019, un premier train de 6 grandes mesures regroupant chacune des aides spécifiques a été adopté par le Conseil d’Administration de l’Agence.
Le dispositif a immédiatement été plébiscité et évolue chaque année pour apporter une réponse aux problématiques économiques et agri-environnementales.
 

Accompagnement Agence rurale

Un train de mesures large pour encourager les agriculteurs à mettre en œuvre des pratiques visant à diminuer les pressions sur l’environnement et à mettre en œuvre des politiques durables. Des aides autour de la gestion des sols et les fertilisations, l’agroforesterie, la protection des cultures, l’alimentation animale et les soins vétérinaires, la compensation des coûts liés à la conversion, l’identification des produits certifiés…