Filière Squash

257

hectares de surface de production

500

emplois directs et indirects

23

producteurs

2 982

 tonnes exportées (Japon, Nouvelle-Zélande, Corée)

Le squash est une cucurbitacée très prisée au Japon. Sa culture en Nouvelle-Calédonie est née d’un partenariat technico-commercial avec la Nouvelle-Zélande – premier pays exportateur de squashs au pays du Soleil levant – qui souhaitait étendre sa période d’approvisionnement. Ce produit constituait la solution idéale pour développer une filière à l’export et pour répondre au problème récurrent de surproduction des maraîchers.

La production s’est réellement organisée à partir de 1997. Des techniciens calédoniens, assistés d’un spécialiste néo-zélandais, suivent les parcelles de squashs et conseillent les agriculteurs. En fonction des aléas climatiques (sécheresses, inondations), la production oscille entre 2 000 et 3 000 tonnes annuelles avec un record de 3 465 tonnes en 2015.

Les clients japonais étant très exigeants, le critère qualité du produit est incontournable. Les squashs récoltés sont donc triés et, chaque année, environ 20 % de la récolte est réorientée vers le marché local.

Depuis 2018 et après un long parcours administratif, les exportations vers la Corée du Sud ont commencé. Ce marché permet d’accroître la valorisation des squashs non conformes pour le marché japonais.

Chiffres clés de la filière 2018

  • Export Japon : 2 400 tonnes
  • Export smalls : 561 tonnes (331 tonnes pour la Nouvelle-Zélande et 230 tonnes pour la Corée)
  • Production : 240 hectares plantés
  • Rendement moyen : 10,8 tonnes/ha et 13,3 tonnes/ha pour les smalls
  • Répartition des producteurs : 117,2 ha à Bourail, 57 ha à La Foa, 55 ha à Boulouparis, + Pouembout, Canala et Ponérihouen (< à 5 ha)

(Source : FCTE SA)

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