Pêche hautière

2 500 tonnes

de poissons capturés par an

65%

de Thons blancs

20

navires

La pêche hauturière a commencé à se développer en Europe occidentale au cours du Moyen Âge.

En Nouvelle-Calédonie, la pêche hauturière a longtemps été pratiquée par des armements japonais, jusqu’à l’arrêt de la délivrance de licences de pêche aux navires étrangers au début des années 2000. Aujourd’hui, cette activité est pratiquée dans la Zone économique exclusive de la Nouvelle-Calédonie (ZEE, 1,3 million de km2) et vise les pélagiques (2 500 tonnes par an).

Le thon blanc représente plus de 60 % des captures, suivi du thon jaune, des marlins, des mahi-mahi, des thons obèses et de divers poissons (saumon des dieux, thazard du large, etc.).

C’est la technique de la palangre horizontale, introduite par les Japonais au début des années soixante et considérée comme la plus sélective, qui est utilisée. L’effort de pêche limité, la haute qualité des captures et de leur traitement « à la japonaise », l’organisation de la filière et le nombre de licences de pêche limité aux palangriers locaux, font de la pêche hauturière calédonienne une activité durable et un acteur économique important.

Chiffres clés de la filière pêche hauturière

  • 20 licences de pêche aux thonidés délivrées par la Nouvelle-Calédonie
  • 7 armements de pêche hauturière
  • 235 emplois directs dans le noyau hauturier, 624 emplois indirects et induits
  • 2 500 tonnes capturées par an

(Source : DAM)

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